Dah Ould Abdeljellil, malgré son grand âge, demeure un acteur central du système mafieux responsable des pertes humaines tragiques qui ont suivi le simulacre d’élection volée par voie numérique. Son rôle dans cette mascarade électorale en fait un complice direct du régime dans sa dérive autoritaire.

L’opposition ne peut plus tergiverser : elle doit se lever d’une seule voix pour exiger sans concession :

1. La démission immédiate du président illégitime,

2. L’organisation d’une présidentielle anticipée crédible,

3. Le démantèlement sans condition de la CENI et de MyCENI, instruments de fraude institutionnalisée.

Le peuple ne peut continuer à subir la domination d’une élite fossilisée et cynique qui assassine la démocratie à coups de logiciels truqués et de balles réelles. Le temps de la complaisance est révolu. L’heure est à la confrontation politique sans compromission.

C’est une véritable déflagration politique. La révélation qu’un consultant en informatique, impliqué dans la conception du site “MyCeni”, a participé activement à une fraude électorale numérique jette une lumière crue sur l’un des plus grands scandales de l’histoire politique récente. Ce site, tristement célèbre, n’est plus qu’un instrument de manipulation, un outil de trahison du peuple, dont les conséquences ont été tragiques : des résultats falsifiés, une volonté populaire écrasée, et surtout, des manifestants pacifiques abattus à Kaédi et ailleurs, dans le sang et le silence. Ghazouani n’a plus la moindre légitimité. Il n’est plus qu’un président imposé par la tricherie, le mensonge, et la répression. Son pouvoir est bâti sur des cadavres, sur une élection numérique viciée, orchestrée dans l’ombre avec la complicité de pseudos experts qui ont saboté la démocratie mauritanienne. L’heure n’est plus au doute, ni à l’indignation passive. Ce régime doit rendre des comptes. Le peuple n’oubliera pas les balles tirées sur les innocents, ni les algorithmes qui ont volé sa voix. Cette mascarade électorale doit être exposée, dénoncée, et jugée. Il est temps de parler de transition. Il est temps de parler de justice..